answer:Vrai. Le contrat d'assurance-vie Euro-croissance a été créé pour proposer une alternative au contrat en fonds euros, tout en offrant une perspective de rendement potentiellement supérieure à long terme. Avec un Euro-croissance, l'assuré investit dans un support en unités de compte, dont la performance est liée à celle d'un indice ou d'un panier d'indices boursiers ou obligataires. Contrairement au contrat en fonds euros, le capital n'est pas garanti, mais le taux d'intérêt est progressif : plus le contrat est détenu longtemps, plus le taux de rendement sera élevé. Le contrat en Euro-croissance bénéficie également des mêmes avantages fiscaux que le contrat en fonds euros, avec des exonérations d'impôts sur les plus-values et les droits de succession.

answer:Vrai. Il est tout à fait possible de suspendre temporairement ou de manière définitive les versements périodiques sur un contrat d'assurance-vie sans avoir d'impact sur le contrat en lui-même. Cela peut se faire en contactant l'assureur ou en se connectant à son espace client. L'arrêt des versements ne remet pas en question les avantages fiscaux liés au contrat d'assurance-vie, et n'entraîne généralement pas de frais supplémentaires. Il est également possible de reprendre les versements ultérieurement, toujours sans incidence sur le contrat en lui-même. Toutefois, il peut être judicieux de vérifier auprès de l'assureur si des conditions spécifiques s'appliquent pour la suspension des versements en fonction du contrat souscrit.

answer:Le souscripteur ne peut plus modifier la clause bénéficiaire sans l'accord du bénéficiaire. En acceptant le bénéfice de l'assurance-vie, le bénéficiaire devient un tiers au contrat et son accord devient nécessaire pour tout changement de bénéficiaire ou de modalité de désignation du bénéficiaire. Le souscripteur, en revanche, peut toujours demander des avances et effectuer des rachats sans l'accord du bénéficiaire, sauf s'il a expressément renoncé à ce droit en faveur du bénéficiaire dans la clause bénéficiaire.

answer:Vrai. Sous le régime de la communauté universelle, tous les biens possédés par les époux, qu'ils soient acquis avant ou après le mariage, sont considérés comme des biens communs. Cela signifie que l'ensemble des biens est mis en communauté et appartient ainsi aux deux époux de manière indivise, sans distinction de leur origine. Les biens acquis à titre personnel avant le mariage sont donc inclus dans cette communauté. Cependant, certains biens restent exclus de la communauté universelle, comme les biens acquis par donation ou par succession et les biens dont l'utilisation exclusive est nécessaire à l'exercice d'une activité professionnelle.